Sous les directions de Françoise Adret, Yorgos Loukos, Julie Guibert, et désormais Cédric Andrieux, le Ballet de l’Opéra de Lyon, précurseur en la matière, poursuit son exploration des écritures chorégraphiques contemporaines les plus exigeantes. Désireux de faire dialoguer les répertoires, tout en s’autorisant à devenir un laboratoire pour des formes expérimentales et novatrices, il est la maison des grands artistes d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Attachée à son territoire mais désireuse de rayonner à l’international, la compagnie transmet avec passion l’histoire de la danse, et contribue à l’écrire, en résonance permanente avec les questionnements de notre époque.
En 2024-2025, le Ballet de l’Opéra de Lyon ne cessera de rayonner sur les scènes de France, d’Europe et du monde où il donnera notamment certaines pièces maîtresses de son répertoire.
À la suite des directions de Françoise Adret et de Yorgos Loukos, qui ont posé les bases de la riche diversité de styles de cette institution de formation classique, Julie Guibert a placé son mandat sous le signe d’une attention renouvelée aux qualités et à la singularité des interprètes. Fort de cet héritage, Cédric Andrieux, désormais à la tête du Ballet de l’Opéra de Lyon, entend à son tour en faire la maison des grands chorégraphes d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Désireux d’offrir au public, comme aux interprètes de la compagnie, des œuvres dans lesquelles la virtuosité puisse s’exprimer, il défend une programmation en forme de grand écart. Faisant dialoguer les répertoires et les époques, celle-ci a à cœur de rendre vivant les héritages de la post-dance américaine et de la scène française des années 1990, comme de donner corps aux formes les plus expérimentales. Cette programmation élargit le territoire géographico-esthétique de ses explorations, plonge dans les archives du Ballet (plus de 100 pièces) et invite les artistes contemporains à revisiter les classiques. Enfin, et encore, elle imagine des rencontres pluridisciplinaires inédites.
La saison 2023–2024 est à cette image, audacieuse : Marcos Morau propose ainsi une relecture éblouissante de La Belle au bois dormant, le maître de l’abstraction Merce Cunningham est célébré avec la reprise de deux pièces fondamentales, Beach Birds et BIPED, les écritures les plus marquantes du XXIe siècle se taillent la part belle, sous la houlette de Marlene Monteiro Freitas et Christos Papadopoulos, les jaillissements du hip-hop s’invitent, grâce à une collaboration avec le Pockemon Crew. Attachée à son territoire mais désireuse de rayonner à l’international, la compagnie transmet avec passion l’histoire de la danse, et contribue à l’écrire, en résonance permanente avec les questionnements de notre époque.
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